La mode des cocktails, plus encore le développement de la belle mixologie, permet de voir apparaitre sur le marché de plus en plus de beaux produits. La cachaça Gaya en fait partie, elle est notre Bouteille du WE.

Bien sûr la Cachaça nous la connaissons principalement comme l’ingrédient alcoolisé qui permet de faire la fameuse caïpirinha brésilienne.

Mais qui sait vraiment où et comment comment est faite la cachaça ? Chez Gaya en tous les cas elle est réalisée dans les règles de l’art, le pur respect de la tradition, du terroir et de la nature. 

Ajoutons à cela que nous la devons à Nicolas Delauche et Ricardo Lopes, les créateurs de Boteco, bars brésiliens de la rue de l’Échiquier à Paris dans le Xe et de l’avenue Trudaine dans le IXe. 

Nos deux jeunes entrepreneurs ont en effet décidé de se lancer dans la production d’alcool de jus canne frais fermenté. Pour cela ils sont même allés apprendre la distillation au Brésil. 

Aujourd’hui ils sélectionnent des distillats sur place, en plein coeur de l’état du Minas Gerais, berceau historique de la production de Cachaça artisanale au Brésil.

Ils les assemblent avant de les faire vieillir six mois en cuve inox, puis six mois dans des fûts. Mais pas de n’importe quel bois, uniquement du Jequitiba rose, un arbre sacré du Cerrado brésilien, région de savane située entre l’Amazonie et la Mata Atlantica, la forêt tropicale cotière du Brésil.

Ainsi dans la bouteille c’est une cachaça élégante, gourmande que Gaya nous propose. La canne est encore bien présente, avec de jolie notes florales et miellées.

On l’appréciera bien sûr en caïpirinha, mais pour ceux qui passent par Paris, on la savourera dans les très jolis cocktails du Boteco (le Rabo Galo est une tuerie ! ) accompagnés qui plus est d’excellents tapas brésiliens.

La cachaça Gaya est à un prix public compris entre 35 et 39 euros.

Attention, Nicolas et Ricardo n’ont pas souhaité en rester là, prochainement une nouvelle cachaça Gaya devrait voir le jour. Il faudra toutefois être patient, juste le temps de l’avoir laissée vieillir 2 ans, en France, en fûts de Cognac…